En février 2020, j’ai lancé le YAKA Club, le club privé des éveilleurs du corps, du cœur, de l’esprit et de l’âme pour partager les enseignements que je récoltais sur mon chemin de la reconstruction et qui pouvaient servir à toute personne cherchant à prendre soin d’elle-même. Le nom de « YAKA » est un petit clin d’œil à tous les « yakas » bien intentionnés des gens qui lancent des conseils sans se rendre compte que ceux-ci enfoncent encore plus la personne traversant un burn-out dans le désespoir et la culpabilité. Aurait-on l’idée de dire à quelqu’un qui a une jambe cassée d’aller courir un marathon ? 

Un clin d’œil, mais aussi une référence au YAKA des petits pas. Un pas après l’autre, même si c’est un pas de fourmi. La reconstruction nous enseigne la bienveillance et la patience.

Les 7 premiers mois de ce club, j’ai pris comme fil conducteur les 7 chakras. Je voulais visiter chacun d’eux pour mieux les connaitre, apprendre à les nourrir, à les aligner et me reconnecter à ces centres d’énergie. Cela faisait aussi un an que je pratiquais le Yoga Kundalini qui a été comme une bouée au milieu de la tourmente. Bien que peu attirée par le yoga et la méditation, j’ai pu ressentir tout de suite la force de cette pratique. Mon corps et mon instinct sentaient combien cela me faisait du bien et me rattachait à la vie. Mon intuition me disait que j’avais là une clé pour rester en vie et me reconstruire. 

Ce programme s’est construit dans l’intimité d’une petite audience à travers des « lives » privilégiant un partage authentique à la qualité technologique. Aujourd’hui, j’ai envie de l’offrir à un public plus élargi pour qu’il puisse aider le plus de personnes possibles. Il est toujours plus facile d’avancer quand quelqu’un nous éclaire le chemin. De plus, c’est en transmettant, que nous pouvons nous épauler mutuellement. Je vous ai laissé le « live » d’introduction au YAKA Club car il porte l’énergie du début de l’aventure. Un goût d’origine !